Le Service Public de l’Emploi (DYPA), comme c’est le nouveau nom de l’organisme qui prend la place de l’OAED, est mis en service aujourd’hui, regroupant plusieurs changements dans les prestations, les obligations des chômeurs et la structure et le fonctionnement de l’Organisation.
Concrètement, à partir d’aujourd’hui, l’allocation de travail, 50% de l’allocation chômage, est instaurée pour la première fois pour les chômeurs aidés qui retrouvent un emploi. Une prime de 300 euros sera également versée aux chômeurs de longue durée (plus de 5 ans) qui établiront un plan d’action individuel numérique pour les aider à se réinsérer plus activement sur le marché du travail.
En outre, des critères de revenus sont introduits – les mêmes que ceux applicables à l’indemnité de chauffage – comme dans le reste de l’Europe, pour rester inscrit au registre numérique du chômage et conserver les avantages et avantages qui y sont associés. La radiation du registre DIPA pendant deux ans est également activée après trois refus d’emplois convenables, selon la pratique européenne établie.
La réforme de la formation pour répondre aux besoins de l’économie débute et pour la première fois en Grèce (deuxième pays de l’Union européenne après la France) des comptes individuels de compétences sont créés où seront comptabilisées les formations des chômeurs et des salariés.
Les salaires des prestataires et des stagiaires sont liés aux résultats de la formation et pour la première fois les portes des universités publiques sont ouvertes aux chômeurs et aux salariés.
Des pensions accélérées et des pensions de fiducie sont introduites pour accélérer encore le taux de rendement des pensions, avec des dispositions qui combinent technologie et confiance dans le citoyen. Le ministre a appelé les députés de l’opposition à montrer par leur vote s’ils rejoignent les syndicalistes de l’EFKA ou les retraités qui souffrent en attendant l’attribution de la pension.