La justice belge a ouvert aujourd’hui une enquête sur administration de médicaments après sept femmes qui ont participé à une soirée dansante à Rouvroa ont rapporté que des étrangers les avaient piqués avec des injections.
La police a déjà recueilli les dépositions des sept femmes, dont quatre sont mineures. Ils ont tous pris part au bal organisé samedi soir par le Club des Jeunes (CDJ) de Dambikurun village à la périphérie de Luxembourg, près de la frontière avec la France.
Les procès-verbaux de la police ont été remis ce jour au parquet d’Arlon, qui a ouvert une enquête préliminaire, selon la porte-parole du parquet, Anne Sophie Gilmo.
“Certains des plaignants conduit à l’hôpital, “Nous aurons certainement les résultats de tests sanguins ou urologiques”, a-t-il ajouté.
Jusqu’à présent, il n’y a pas de suspect et il n’a pas été déterminé quelle substance interdite a été utilisée. Les femmes ont mentionné deux façons différentes d’agir des agresseurs. Certains ont dit avoir trouvé une “marque” sur leur corps le lendemain de la danse qui pourrait indiquer un piercing à l’aiguille. Au moins une a déclaré avoir vu quelque chose de “suspect” dans sa boisson et pensé qu’elle avait peut-être été jetée “une poudre dans le verre”.
Selon la radiotélévision française RTBF, les victimes ont fait état de divers symptômes, comme des vertiges, des maux de tête, des nausées ou des pertes de mémoire.
En France le monde de la nuit est occupé par la psychose après que des dizaines de personnes, dans de nombreuses régions du pays, ont déclaré avoir reçu de mystérieuses “morsures” en s’amusant dans des boîtes de nuit. Beaucoup ont développé des symptômes tels que des étourdissements, des nausées et des vomissements. Une soixantaine de plaintes ont été déposées auprès de la police depuis début avril.
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